18 juin 2012

Parce que purée, un écureuil !

Allo !
Comment ça va tu bien ? *

Plus de 8 jours sans poster, pas bien, pas bien. Serait-ce le soleil cuisant qui écrase le Québec depuis quelques jours qui m'écrase le cerveau par la même occasion et me rend feignasse ? Ou les quelques menues occupations qui ont monopolisé mes neurones la semaine dernière ? Ou le week-end qui est passé trop vite ? Ou un p'tit coup de mou ?

Allez, promis, demain je donne quelques news, et en attendant, voilà un petit dessin que j'ai gribouillé il y a un peu plus d'un mois. Parce que non, décidément, je ne pouvais pas mettre une photo. C'eût été indécent. Et un peu dégueulasse.

  
Voilà : à Paris, j'étais habituée aux pigeons écrabouillés sur le bitume. 
Ici, les écureuils sont aussi nombreux que les pigeons (ils se battent, même, parfois. Je les soupçonne d'organiser des free-fights clandestins dans les parcs à la nuit tombée, pour savoir qui remportera le dernier quignon de pain dans son p'tit sac-banane). 
Bref, voici ma première bouillie d'écureuil, que le pneu avant de mon vélo a évité de justesse alors que je dévalais une grande rue en direction du centre-ville. C'était bien triste. 

Et comme je suis trop mignonne, je rajoute des photos d'un écureuil, bien vivant pour le coup. La fripouille a passé 20 minutes à sauter de branches en branches autour de mon balcon il y a quelques jours, osant même gravir l'escalier à quelques mètres du chat. Je crois qu'il le narguait (de toute façon le chat a peur de l'écureuil, c'est le monde à l'envers ma bonne dame). 





Sur ces histoires d'écureuils bien choupis mais pas très fut-fut, redevons sérieux. J'ai quelques dizaines de CV à envoyer en candidature spontanée dans des agences de pub. Une chance sur deux que ça atterrisse rapidos à la corbeille mais qui ne tente rien n'a rien, hein. 

Allez, au boulot, faites gaffe aux coups de soleil en France (hin hin hin...)
et à la prochaine ! 

(* je précise que je ne suis pas devenue une hérétique de la langue française, une dissidente de la grammaire et de la syntaxe en quelques semaines, hein. J'écris "comment tu vas tu" ou "ça va tu bien" parce qu'y a droit de le dire, icitte, on est au Québec, c'est tout à fait correc' et çui qui chiale en ostie y'a qu'à crisser son camp. Voilà.) 



2 commentaires:

vanthang a dit…

c'est très mignon,le symbole du livret A en liberté.

lolo a dit…

Génial !